plus de transition à la résolution de la question cléricaliste.
La première marque des esprits qui veulent se libérer est la tendance vers l’affranchissement. De Platon à Karl Marx, l’humanité ne s’est jamais arrêtée dans sa marche perpétuelle vers un soleil peu à peu dévoilé. Mais l’heure de la libération définitive a sonné ! Plus de ces cathédrales oppressives, où l’air ne pénètre pas, où les bouquets se flétrissent, où de l’encens brûle sur les autels ! Plus de ces quêtes, aussi insultantes pour la main à qui l’on demande que dégradantes pour la main qui reçoit ! Plus de ces baptêmes où ruisselle l’eau lustrale des superstitions, de ces messes au fracas des orgues, de ces processions qui, déroulant leurs anneaux, semblent des serpents d’engourdissement et d’esclavage intellectuels ! — Au lieu de cela, puisque ce qui différencie l’homme de la bête, c’est qu’il a les yeux levés vers le ciel, inaugurons le Temple