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à la manière de…
Voici ce plan :
i. — Un petit employé (Loisel). Sa femme veut aller au bal. Pas de bijoux. C’est une amie (Mme Forestier) très riche, qui lui en prêtera. L’emprunt.
ii. — La toilette. Le bal ; les épaules ; orchestre caché (comme chez la Comtesse de G***). Succès. Départ au petit jour.
iii. — Rentrée à la maison. La parure est perdue. Comment rendre ? Ils achètent une semblable (40.000) ; et naturellement billets, dettes, ruine progressive. Existence de pauvres.
iv. — Dix ans après. Rencontre de Mme Forestier (On ne s’était pas revus. Étonnement : comme vous êtes changée !… etc.). Mme Loisel raconte tout. Émotion de Mme Forestier. « Mais, ma pauvre Mathilde, la parure était fausse ! Elle valait au plus cinq cents francs ! » (Conclusion.)
Les quatre amis décidèrent d’achever la tâche interrompue et se partagèrent la besogne, Charles Dickens écrivit la première partie,