pianos, à fréquenter les mauvais lieux ornés de miroirs, et à activer la chute dans le péché des malheureuses condamnées à la violation continue des lois divines et humaines par la corruption du pouvoir légal mis au service de l’égoïsme luxurieux des buveurs et des fumeurs.
Mais, dans la nuit de Noël 1885, le 7 janvier 1886[1], un événement lui donna à réfléchir sur la conduite éventuelle de sa vie. Son camarade de dissipation, Nicolas Novodvorovodski Moulagoff, après avoir beaucoup bu, beaucoup chanté, beaucoup fumé, trouva plaisant de se faire enfermer dans la glacière d’un restaurant de nuit fashionable. Il y fut retrouvé mort le lendemain dans la glace et dans le péché.
Honte et dégoût ! Dégoût et honte !
À partir de ce jour, Ivan Labibine changea de krokno[2] instantanément. Il distribua aux